Les berlingots sont à Cauterets ce que la Tour Eiffel est à Paris : Un monument ! Une douceur incontournable pour les touristes comme pour les résidents, qui ne peuvent plus s’en passer. L’histoire du berlingot c’est tout d’abord l’histoire du thermalisme et de l’utilisation de l’eau soufrée pour soigner les maux. Seulement cette eau a un goût très particulier, pas forcément agréable. En 1850, des médecins proposent aux curistes de sucer un petit bonbon, pour que le traitement soit plus agréable. C’est ainsi que naît le berlingot cauterésien, au début au miel et à la menthe.
A la belle époque, le village a compté jusqu’à 8 confiseries, aujourd’hui elles ne sont plus que 3 et l’OCAS a le plaisir de vous annoncer que l’une d’entre elle vient de rejoindre l’association !
La confiserie Marinette est une véritable institution à Cauterets, présente depuis plus de 80 ans ! D’abord sous les arcades, elle trouve rapidement sa place définitive sur l’avenue du mamelon vert. Comme son nom l’indique, elle a été créée par Marinette, une figure incontournable du village. Et pour perpétuer la tradition, c’est Eric Millet qui, à présent, maîtrise à la perfection la berlingotière centenaire !
Eric est un tarbais de naissance qui est tombé sous le charme d’une cauterésienne, et bien sûr de Cauterets. C’est en 1984, tout juste diplômé de l’école hôtelière, qu’il pose ses valises dans la cité thermale. 19 ans plus tard, il apprend que la fabrique est à reprendre. Une belle opportunité dans laquelle il se lance aussitôt. Tout en continuant son emploi, il vient se former à la technique très particulière de la fabrication de cette sucrerie avant de reprendre la boutique en 2003.

Le berlingot c’est un savoir, qui ne s’apprend pas sur les bancs de l’école mais se transmet et surtout se maîtrise. On ne vous dévoilera pas les secrets ici, ils sont bien gardés et ne seront dévoilés qu’au futur berlingotier ! Pour faire les berlingots parfaits, il faut de bons ingrédients : d’abord du sucre, essentiel. On y ajoute du sirop de glucose, de l’eau et on chauffe doucement à 150°C. Puis on le verse sur le marbre pour y ajouter les parfums (naturels). C’est alors que commence le travail du crochet. Avec une maîtrise liée à l’expérience, Eric étend, plie, étend et replie à de nombreuses reprises la pâte qui, au fil des manipulations, se nacre et se pare de nuances colorées. Il façonne à la main un long boudin qu’il passe ensuite dans la berlingotière pour leur donner leur forme caractéristique de tétraèdre. Le temps de fermer les yeux pour se replonger en enfance et hop ! Les berlingots sont prêts à être cassés et ainsi trouver leur indépendance, direction les bocaux et l’estomac des petits et des grands gourmands !

En moyenne, Eric propose 30 parfums différents. Il y a le classique à la menthe, celui au miel (récolté sur les hauteurs du village), le très recherché caramel au beurre salé, et le local à la myrtille. Connaissez-vous le berlingot avec son amande entière lovée, tel un bijou, dans son sucre ? Pour les gourmands, essayez la réglisse. Pour les plus téméraires, des arômes génépi, bergamote ou encore sève de pin.

Chez Eric, ce n’est pas l’usine, tout est fabriqué de façon artisanale sous vos yeux. De 8 à 10 fois par jour, il lance une fabrication de 5kg de berlingots. Pour savoir quand, c’est simple : il suffit d’humer l’air ambiant, la douce odeur de sucre se répand devant la boutique ? C’est le moment d’entrer ! Vous aurez alors la chance d’observer la magie du berlingot, et, pour les enfants, c’est le moment aussi de tourner la manivelle pour fabriquer le bonbon. Petit bonus, ils repartiront avec leur propre sucette chaude et un diplôme officiel de berlingotier(e).
Après la fabrication, passage dans la boutique où Evelyne et Fatima mettront en sachet votre sélection de bonbons. Attention, les berlingots sont à conserver avec amour, laissez les dans leur sachet, dans le bac du frigo, au frais, ainsi ils ne colleront pas. Et surtout, ne les oubliez pas, car même s’ils se gardent des mois, ils sont très malheureux de se sentir oubliés !

Eric propose des berlingots personnalisés pour les baptêmes et mariages, remplacez les traditionnelles dragées par des bonbons aux couleurs de votre thème en choisissant votre parfum. Pour Octobre Rose, la boutique se pare de rose et propose des berlingots à la framboise, miam ! Les groupes scolaires et aînés ruraux sont les bienvenus, sur réservation.

A la confiserie on trouve aussi d’autres gourmandises, dont les célèbres coucougnettes, des feuilletés pralinés qui sont à tomber, une nougatine maison, une gamme de chocolat (Pailhasson) et les crottes d’isard (les plus vendues après les berlingots). Ne comptez pas trouver les berlingots Marinette ailleurs qu’à Cauterets, c’est une exclusivité !

Confiserie Marinette
6 avenue du mamelon vert à Cauterets
Ouvert tous les jours de 9h à 12h30 et de 14h30 à 19h30 en saison (en continu le vendredi et le samedi)
05-62-92-53-07 ou 06-62-40-43-81
https://www.cauterets-berlingot-marinette.com/histoire-du-berlingot-de-cauterets
https://www.facebook.com/confiserie.Marinette
https://www.instagram.com/confiseriemarinette/
la vidéo de la fabrication : https://www.youtube.com/watch?v=ng1U3_L78dQ

De bons produits, en direct du producteur, voici ce que propose le magasin Locamercat implanté à Pierrefitte-Nestalas.
L’histoire commence en 2018, Nadège se promène avec son fils dans cette belle vallée dans laquelle elle a grandi. Nous le savons, les enfants ont souvent des remarques amusantes, et ce jour-là, la question de son fils va bouleverser la vie de cette petite fille d’agriculteur. Car oui, le projet est parti d’une simple interrogation d’enfant « dis maman, le lait qu’on boit à la maison, il vient des vaches qui sont là ? ». Malheureusement, même dans notre territoire riche de producteurs et d’agriculteurs, nos produits sont bien souvent transformés et font de nombreux kilomètres, et dans sa naïveté enfantine, le petit garçon a mis le doigt dessus « mais c’est bête, pourquoi on va chercher le lait loin alors qu’il y en a ici ? ».
Nadège, en quête de sens à sa vie professionnelle, y voit un signe. Elle se renseigne et s’aperçoit que sur les vallées des gaves il n’existe pas de solution pour consommer les produits locaux. Ni une ni deux, elle se lance pour mettre en place la première « ruche qui dit oui » du territoire. Le but est de se rapprocher des producteurs locaux pour les convaincre de proposer leurs produits, sans intermédiaire ; enfin, si, c’est Nadège qui fera l’intermédiaire, elle coordonne les préparations de commandes et la livraison hebdomadaire en un lieu unique. Un travail dans lequel elle se retrouve immédiatement. La tâche est pourtant énorme, car il faut convaincre les producteurs, d’adhérer au système, de mettre en ligne leurs produits et les amener au point de rencontre. Mais petit à petit, l’idée fait son chemin, un producteur content en attirant un autre, et c’est parti pour la grande aventure !
En 2019, Nadège quitte la ruche qui dit oui pour rejoindre le locavor, plus souple et plus dans les valeurs de proximité qu’elle souhaite porter. Chaque semaine producteurs et consommateurs se retrouvent, d’abord à Adast, puis à Ayzac-Ost. En 2020, les commandes de paniers explosent et cela fait le bonheur de tous. Les producteurs fixent leurs prix et peuvent vivre correctement de leur travail. Les consommateurs, quant à eux, peuvent bénéficier de produits de qualité.
Nadège aurait pu se contenter de cela, mais c’était mal la connaître. Elle souhaite mettre en lumière le travail de ces femmes et ces hommes qui nous nourrissent, et une livraison par semaine, c’est bien peu au regard des attentes de chacun. Petit à petit, chemine l’idée de faire de ce rendez-vous hebdomadaire, un lieu ouvert 5 jours par semaine. Le projet est lancé, reste à trouver un local pour le faire grandir. Nadège contacte alors les communes des vallées. Pierrefitte-Nestalas est le premier à répondre et à proposer cet espace, en plein cœur du centre ville et au carrefour des vallées. L’endroit rêvé, d’autant plus que les habitants sont déjà très sensibilisés aux avantages de la consommation en circuit court.
En 2022, Nadège et son associé Nicolas ouvrent le Locamercat.
Alors, on y trouve quoi ? Le duo commence avec le noyau dur des producteurs qui ont embarqué dans l’aventure Locavor. Puis, se met en quête de compléter l’offre afin que nous puissions faire l’ensemble de nos achats en une seule fois. Ce n’est pas si simple car Nadège est très exigeante sur les produits. La priorité est, bien entendu, au local. Si elle ne s’impose pas de distance maximale, elle est intransigeante sur la qualité des produits. Nadège souhaite une transparence totale sur les produits, elle prend la responsabilité de ce que les clients mettront dans leur assiette, et elle y tient. Nous devons manger mieux et respecter les producteurs, aucun produit n’a le droit d’occuper les rayons s’il ne respecte pas ce cahier des charges. Pour obtenir le meilleur, Nadège ne ménage pas ses efforts. Quand le magasin est fermé, elle va à la rencontre des producteurs, qui sont devenus des amis, elle les accompagne, elle connait leurs contraintes : un producteur ne peut pas venir livrer, qu’importe, Nadège y va, ou mieux, un autre producteur qui passe pas loin fait le détour pour récupérer la précieuse livraison. C’est tout une chaîne de solidarité qui s’est créée autour du Locamercat en quelques mois, c’était son vœu le plus cher, et c’est un pari gagné.
Pour les produits, c’est vrai qu’on trouve de tout : les légumes de Jean-François Carrère (un des premiers à avoir fait partie de l’aventure et un allié solide), la viande de la ferme du Lac d’Estaing et de celle du Bayens, la Truite des Pyrénées, les produits laitiers (fromages et yaourts), des sirops, du cidre, des bières, des vins, le pastis d’Ors Na Bruma, tous les produits de l’épicerie (huile, vinaigre, farine, pâtes), les bons gâteaux de l’Emicurienne, des conserves, du pain. Côté beauté, vous retrouvez les savons de la fabrique des Soums. Bientôt un rayon produits ménagers, lessive.
Après un an de fonctionnement, il semble évident que le Locamercat répondait à un fort besoin, les clients sont nombreux. Nicolas a quitté l’aventure mais Nadège fourmille d’idées et de beaux projets. Elle souhaite notamment développer son propre site internet, plus souple que le locavor qui impose aux producteurs de s’inscrire. Ce site permettrait de mettre l’ensemble des produits accessible à la commande à distance, toujours avec retrait au magasin. Dans le but de favoriser les échanges, elle souhaite proposer un espace café/sandwichs. La proximité est son moteur, c’est pour cela qu’elle envisage de mettre en place des paniers livrés aux personnes âgées, avec des produits simples à cuisiner. Dernier axe de développement : la transformation des produits, directement par le Locamercat, une façon de mettre encore plus en lumière les produits de nos agriculteurs.
Malgré la conjoncture, Nadège l’affirme, il ne faut pas tomber dans la facilité et aller au moins cher, car c’est souvent au détriment de notre santé. Alors on compte sur vous pour faire vivre nos commerces de proximité !

Locamercat
51 avenue Jean Moulin 65260 Pierrefitte-Nestalas
06 48 95 34 59
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Ouvert lundi, jeudi, vendredi et samedi de 9h30 à 13h et de 14h30 à 19h – le mercredi de 14h30 à 19h. Fermé mardi et dimanche
https://www.facebook.com/locavordesgaves
https://www.instagram.com/locamercat/

Les argelésiens connaissent depuis de nombreuses années le petit Casino du centre ville. Ce commerce de proximité est la seule « petite » surface du centre ville et permet aux résidents de faire leurs courses sans prendre la voiture. Essentiel pour les habitants et pratique pour les vacanciers puisqu’il est ouvert 7 jours sur 7 sur de larges horaires et propose une large gamme de produits, avec les tarifs avantageux du groupe Casino.
Depuis le 2 décembre 2023, c’est Manon et Nicolas qui ont pris la location gérance du magasin avec la volonté d’en faire un lieu de partage et d’échanges avec la clientèle, et on peut dire qu’en quelques semaines, le pari est déjà bien réussi !
Nicolas est originaire de Vendée, après des études en boulangerie, il se dirige vers un poste de gestion de stock et planification dans une entreprise familiale spécialisée dans les produits traiteurs. Manon, qui vient de Loire Atlantique avait choisi le métier de toiletteuse avant d’intégrer la même société en tant que chef d’équipe.
La Vendée c’est beau, mais Nicolas rêve de venir s’installer dans les Pyrénées, là où il vient passer toutes ses vacances dans la maison familiale de Pierrefitte-Nestalas. Et avec Manon ils imaginent déjà reprendre un commerce de proximité, pour pouvoir contribuer au dynamisme de la commune et être au service de ses habitants. Pour le couple, ce métier est devenu une évidence, tant ils aiment le contact avec les clients. Ils rêvent d’un lieu où les gens aimeraient venir discuter, différent d’une grande surface où l’on prend son chariot, on le remplit et on sort mécaniquement. En 2022, leur décision est prise, ils se mettent en quête de la perle rare à reprendre. Rapidement, on les oriente vers le groupe Casino, qui, séduit par leur profil, leur propose immédiatement une location gérance, à choisir entre 3 magasins des Pyrénées. En entendant le nom d’Argelès-Gazost, leurs cœurs palpitent, c’était l’endroit rêvé ! Et le rêve se concrétise.
Dès leur arrivée, ils ont souhaité rendre l’espace plus accessible et chaleureux. Ils ont commencé par diminuer la hauteur d’une partie des rayons à 1m45 ; Plus facile pour tous pour faire son choix, grâce à eux plus besoin de demander à un grand de vous descendre la bouteille de jus de pommes ! Cet aménagement donne une sensation de profondeur au magasin qui est ainsi plus aéré. Ils ont également revu l’aménagement des rayons pour rendre votre shopping plus intuitif.

On pense souvent à tort que dans une enseigne Casino, on ne trouve que des produits de grandes marques et de marques magasin. Et non ! Manon et Nicolas ont la possibilité de référencer 15% de leurs produits avec les fournisseurs de leur choix. Et c’est leur but, pouvoir offrir à des producteurs et commerçants locaux la possibilité d’avoir leurs produits accessibles à un plus large public. D’ailleurs un rayon entier leur est réservé. Vous pourrez ainsi vous délecter des yaourts de la ferme Sayous de Lourdes, trinquer (avec modération) avec une bière d’Argelès-Gazost, ou encore déguster une bonne truite des Pyrénées et du miel des Gabizos. Leur objectif est d’étoffer ce rayon avec de nombreux produits, alors si vous êtes producteur, n’hésitez pas à les contacter car Manon et Nicolas apprécient de faire découvrir les pépites de nos vallées. A côté des caisses, vous trouverez les informations pour vous permettre d’aller ensuite à la découverte des producteurs pour découvrir l’ensemble de leur gamme.
S’il devait y avoir un mot pour résumer la volonté du couple, c’est PROXIMITE. Même si la majorité des produits frais passent par leur centrale d’achat, Manon et Nicolas tiennent toujours à choisir les produits au plus près, le « produit en France » avant le reste, et plus c’est proche des Pyrénées, plus ça a sa place dans la boutique. Ils prennent également soin de ne pas proposer des articles qui seraient disponibles dans les autres commerces de proximité du centre-ville. Leur plus grand souhait est de faire perdurer le magasin de longues années. Ils tiennent à remercier chaleureusement la clientèle qui leur fait confiance depuis leur arrivée ainsi que les commerçants et Madame le Maire pour leur accueil chaleureux dès le début du projet.
Petit service en plus : le Casino Shop est relais colis UPS, très pratique pour les résidents du centre ville.

Casino shop
26 rue du Maréchal Foch à Argelès-Gazost
Ouvert du lundi au samedi de 8h à 12h30 et de 15h à 19h30 et le dimanche de 9h à 12h
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Parmi les commerces indispensables à nos vallées, s’il en est un qui est incontournable à tout âge, c’est bien la pharmacie. Pour vos médicaments prescrits par votre médecin traitant, mais aussi pour toute la parapharmacie, la bobologie et surtout les conseils de spécialistes.

Au carrefour des vallées de Barèges et Gavarnie se niche la seule officine du pays Toy, la pharmacie de l’Ardiden à Esquièze-Sère. Gérée depuis 30 ans par Jean-Marc Montbroussous, la pharmacie est de garde 24h/24 et 365 jours par an. Les professionnels de santé du pays toy peuvent compter sur elle dans le parcours santé de leur patientèle.
Jean-Marc Montbroussous, aveyronnais de naissance, est un passionné de rugby, c’est pourtant vers le domaine de la santé qu’il a choisi de se diriger. Après des études de pharmacie à Toulouse, il revient exercer dans l’Aveyron puis sur la côte landaise. En 1994, il s’associe à Patrick Varichon pour reprendre la pharmacie d’Esquièze-Sère. 4 ans plus tard son associé quitte le village et Jean-Marc reste seul aux commandes et sans aucune envie de quitter ce petit coin de paradis qu’il ne connaissait pas auparavant mais pour lequel il a eu un très gros coup de cœur (pour les paysages mais aussi pour les habitants dont la convivialité n’est plus à prouver).

La pharmacie de l’Ardiden est une pharmacie exceptionnelle à plusieurs titres.
Elle travaille en étroite collaboration avec les Thermes de Luz et de Barèges qui concentrent les bienfaits des sources pyrénéennes pour des pathologies telles que la phlébologie, la lymphologie, l'ORL, et la rhumatologie. La pharmacie s’est tout naturellement spécialisée dans la prise de mesure des contentions pour être au plus près des curistes et leur permettre de profiter au maximum des bienfaits de leur cure thermale.

Les routes et chemins de randonnée attirent chaque saison plus de sportifs, cyclistes et randonneurs. La pharmacie leur propose un accompagnement pharmaceutique et médical avec une large gamme d’orthèses et attelles. Bien entendu pharmaciens et préparateurs sauront également identifier les plantes ou champignons découverts lors de vos promenades pour éviter tout accident.

Mais s’il y a une spécialité pour laquelle Jean-Marc et son équipe sont connus, et bien au-delà des vallées, c’est pour la partie herboristerie. En effet, la pharmacie propose de nombreuses préparations à base d’une centaine de plantes médicinales. Convaincue que l’herboristerie est une médecine à part entière, l’équipe travaille sur des formules spécifiques à chaque pathologie.
En harmonie avec la santé au naturel, la parapharmacie offre des rayons dédiés à l’aromathérapie et aux huiles essentielles. Pour un équilibre du corps, pensez à la micro nutrition, à base d’oligoéléments, de vitamines et de minéraux, pour passer l’hiver en forme.

La solidarité est une valeur essentielle dans ce métier comme elle est primordiale dans notre vallée et vous pouvez compter sur Jean-Marc, Agnès, Malaury, Thomas, Chantal, Eric, Manon, Pascale et Théodore pour vous délivrer, avec sourire et bienveillance les conseils santé dont vous avez besoin.

Pharmacie de l’Ardiden
11 Rue du Pont de Luz, 65120 Esquièze-Sère
0562928016
Ouvert du lundi au vendredi de 08:30 à 12:30 et de 14:30 à 19:30 et le samedi de 08:30 à 12:30 et de 15:00 à 19:00
https://pharmaciedelardiden.pharmaxv.fr/
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